Découvrir le projet

Situé à Vitry-sur-Seine, à 3 km de Paris, le projet des Ardoines est l’une des plus importantes opérations d’aménagement en France, sur un site stratégique de la métropole du Grand Paris. Les Ardoines s’étendent sur un quart du territoire communal, soit environ 300 hectares entre les voies ferrées du RER C et la Seine.

Ce territoire, qui constitue la principale zone d’activités de la ville de Vitry-sur-Seine bénéficiera dans les prochaines années d’une offre de transports en commun renforcée et de l’arrivée de logements, bureaux, commerces, espaces verts qui bénéficieront aux Vitriots d’aujourd’hui et de demain.

Dans la conception et la réalisation du projet d’aménagement :

• Un projet qui tient compte des effets du réchauffement climatique en luttant contre les îlots de chaleur, avec, sur la première phase, 20% de la surface des terrains traités en espaces verts et la végétalisation des espaces publics ;
• La désimperméabilisation des sols en les débitumant pour laisser la place à de la pleine terre. Par exemple, 10% des surfaces désimperméabilisées dans le quartier Gare Ardoines, et 3 hectares d’espaces verts de pleine terre (publics et privés) ;
• Des ressources préservées sur la zone Gare Ardoines : valorisation des terres issues des travaux de fouilles archéologiques et de terrassement, destinées au remblaiement des espaces publics ;
• Des chantiers responsables soumis à une charte chantier à faibles nuisances, avec 5 % à 7% des heures de travail, sur les chantiers, dédiées à des travailleurs en insertion ;
• La labélisation écoquartier en cours ;
• Une gestion des eaux de pluie par infiltration (noues), réutilisation ou rétention ; des solutions techniques pour assurer la sécurité des habitants et la résilience des terrains et des bâtiments en cas d’inondation, sur la base d’une crue centennale, afin d’assurer un retour à la normale dans la vie du quartier le cas échéant. (Lien vers motion design)

Dans la conception et la réalisation des logements et les bureaux :

• Performances énergétiques et environnementales pour les constructions, contrôlées par le respect de la réglementation (RE2020) et l’obtention de labels et certifications : NF Habitat HQE 7*, label biosourcé niveau 1 à 2, certifications HQE niveau Très bon ou BREEAM Well Building Standard pour les bureaux ;
• Priorité aux énergies renouvelables, notamment grâce au raccordement au réseau de chauffage urbain, alimenté à minima par 60% d’un mixte d’énergies renouvelables : chaufferie bois, géothermie, CPCU.

Le projet sera développé en plusieurs phases, dont la première sur les secteurs Gare et Cavell, qui verra la réalisation d’ici 2028 d’environ 1700 logements, d’une résidence senior sociale de 82 logements, de commerces en rez-de-chaussée, de services et d’activités, de bureaux, ainsi que d’une école de 19 classes, une crèche, et un gymnase en complément du collège Josette et Maurice Audin, et du gymnase déjà en place. 

Urbaniste de la Zac : Germe et Jam, architectes urbanistes
Paysagistes : Agence Hilaire

Bureau d’études techniques : MAGEO
AMO Développement Durable : ARTELIA
OPC : IM Projet

Zoom sur le premier secteur opérationnel : le secteur Descartes Situé entre l’A86 au sud, le bâtiment de SANOFI au Nord, la rue Léon Geffroy à l’Est et la rue Malleret Joinville à l’Ouest, le secteur Descartes accueillera en 2024 environ 900 logements, dont 40 % de logements locatifs sociaux, 15 000 m² de bureaux, des activités économiques et des commerces en pied d’immeuble.

Il est desservi du nord au sud par une « rue-jardin »,qui s’élargit à trois reprises pour permettre l’aménagement de squares ou de jardins, ainsi que par le prolongement des rues Voltaire et Olympe de Gouges dans le nouveau quartier.